UNE HISTOIRE CENTENAIRE
L’histoire J.Denuzière débute en 1876 et continue de s’écrire aujourd’hui
À l’époque, Joanny Paret, le fondateur de la maison installée à Condrieu, souhaite développer la notoriété des vins locaux dans les cafés et bistrots rhodaniens en les distribuant à l’aide de son attelage de chevaux. Pendant plusieurs décennies l’entreprise familiale perdure avec le dynamisme de Joseph Paret, fils de Joanny, qui poursuit le travail réalisé par son père depuis quarante ans.
Les Vins Paret deviennent ensuite les Vins Denuzière lorsque Pierre Denuzière, gendre de Joseph Paret, prend la succession de son beau-père dans les années 40. Depuis 80 ans, le nom « Denuzière » fait partie du paysage vigneron dans la vallée du Rhône Septentrionale.
Aujourd’hui, les micro-cuvées J.Denuzière sont façonnées autour de cet héritage condriot, solidifié au fil des millésimes.
UNE HISTOIRE CENTENAIRE
L’histoire J.Denuzière débute en 1876 et continue de s’écrire aujourd’hui
A l’époque, Joanny Paret, le fondateur de la maison installée à Condrieu, souhaite développer la notoriété des vins locaux dans les cafés et bistrots rhodaniens en les distribuant à l’aide de son attelage de chevaux. Pendant plusieurs décennies l’entreprise familiale perdure avec le dynamisme de Joseph Paret, fils de Joanny, qui poursuit le travail réalisé par son père depuis quarante ans.
Les Vins Paret deviennent ensuite les Vins Denuzière lorsque Pierre Denuzière, gendre de Joseph Paret, prend la succession de son beau-père dans les années 40. Depuis 80 ans, le nom « Denuzière » fait partie du paysage vigneron dans la vallée du Rhône Septentrionale.
Aujourd’hui, les micro-cuvées J.Denuzière sont façonnées autour de cet héritage condriot, solidifié au fil des millésimes.
CAROLINE MORO, L'INTERPRÈTE DES VINS
Originaire de Bourgogne, elle a rejoint la maison en 2014. Méticuleuse et passionnée, elle se décrit comme une cartésienne qui a appris, au fil des années et de ses déambulations dans les vignobles français et européens, à se détacher de son esprit scientifique, pour faire confiance à son intuition.
Elle a besoin d'arpenter les terroirs pour les appréhender et ce n'est que lorsqu'elle commence à les comprendre qu'elle se prend à rêver les vins pour les révéler.
Ses méthodes en cave relèvent de l'artisanat : peu interventionniste, toujours au service du millésime en cours, Caroline aime interpréter la puissance des vins du Rhône en les signant avec fraîcheur et délicatesse.
Elle incarne l'esprit J.Denuzière à la perfection.
Originaire de Bourgogne, elle a rejoint la maison en 2014. Méticuleuse et passionnée, elle se décrit comme une cartésienne qui a appris, au fil des années et de ses déambulations dans les vignobles français et européens, à se détacher de son esprit scientifique, pour faire confiance à son intuition.
Elle a besoin d'arpenter les terroirs pour les appréhender et ce n'est que lorsqu'elle commence à les comprendre qu'elle se prend à rêver les vins pour les révéler.
Ses méthodes en cave relèvent de l'artisanat : peu interventionniste, toujours au service du millésime en cours, Caroline aime interpréter la puissance des vins du Rhône en les signant avec fraîcheur et délicatesse.
Elle incarne l'esprit J.Denuzière à la perfection.
UNE VITICULTURE MINUTIEUSE AU SERVICE D'UN TERROIR FASCINANT
Le long du Rhône, fleuve tranquille et puissant, se sont dessinés au fil des siècles les contours des prestigieux "Crus Septentrionaux" des Côtes du Rhône. Toutes issues de noms de communes, les appellations qui en découlent ont pour points communs des pentes abruptes, une viticulture ardue en côteaux vertigineux et des îlots de terroirs circonscrits. Seules la Syrah, la Marsanne, la Roussanne et le Viognier sont cultivés ici : cépages aromatiques et exigeants plantés au départ "là où la vigne voit le Rhône" et où, souvent, seul le travail de l'homme à pied reste possible.
Observer la nature, prendre en compte son environnement pour pouvoir s'adapter à chaque terroir est au cœur de toutes la réflexions et de nos actions.
Au fil des années, pierre par pierre, les murs de granit sont venus consolider les terrasses (ou "chaillées") sur lesquelles la vigne s'est épanouie. Les pierres sèches, support d'une grand biodiversité que nous nous appliquons à préserver au coeur de nos différentes parcelles, délimitent aussi les contours de ces terroirs minutieusement travaillés sur chaque Cru : "Sauman" à Cornas, "Le Tinal" à Condrieu, "Saint-Claude" à Saint Joseph ...
Chacun d'eux forge l'identité de J.Denuzière dans le verre, pour un résultat unique.
Le long du Rhône, fleuve tranquille et puissant, se sont dessinés au fil des siècles les contours des prestigieux "Crus Septentrionaux" des Côtes du Rhône. Toutes issues de noms de communes, les appellations qui en découlent ont pour points communs des pentes abruptes, une viticulture ardue en côteaux vertigineux et des îlots de terroirs circonscrits. Seules la Syrah, la Marsanne, la Roussanne et le Viognier sont cultivés ici : cépages aromatiques et exigeants plantés au départ "là où la vigne voit le Rhône" et où, souvent, seul le travail de l'homme à pied reste possible.
Observer la nature, prendre en compte son environnement pour pouvoir s'adapter à chaque terroir est au cœur de toutes les réflexions et de nos actions.
Au fil des années, pierre par pierre, les murs de granit sont venus consolider les terrasses (ou "chaillées") sur lesquelles la vigne s'est épanouie. Les pierres sèches, support d'une grande biodiversité que nous nous appliquons à préserver au coeur de nos différentes parcelles, délimitent aussi les contours de ces terroirs minutieusement travaillés sur chaque Cru : "Sauman" à Cornas, "Le Tinal" à Condrieu, "Saint-Claude" à Saint Joseph ...
Chacun d'eux forge l'identité de J.Denuzière dans le verre, pour un résultat unique.
CAROLINE MORO, L'INTERPRÊTE DES VINS
Originaire de Bourgogne, elle a rejoint la maison en 2014. Méticuleuse et passionnée, elle se décrit comme une cartésienne qui a appris, au fil des années et de ses déambulations dans les vignobles français et européens, à se détacher de son esprit scientifique, pour faire confiance à son intuition.
Elle a besoin d'arpenter les terroirs pour les appréhender et ce n'est que lorsqu'elle commence à les comprendre qu'elle se prend à rêver les vins pour les révéler.
Ses méthodes en cave relèvent de l'artisanat : peu interventionniste, toujours au service du millésime en cours, Caroline aime interpréter la puissance des vins du Rhône en les signant avec fraîcheur et délicatesse.
Elle incarne l'esprit J.Denuzière à la perfection.
UNE VITICULTURE MINUTIEUSE
AU SERVICE D'UN TERROIR FASCINANT
Le long du Rhône, fleuve tranquille et puissant, se sont dessinés au fil des siècles les contours des prestigieux "Crus Septentrionaux" des Côtes du Rhône. Toutes issues de noms de communes, les appellations qui en découlent ont pour points communs des pentes abruptes, une viticulture ardue en côteaux vertigineux et des îlots de terroirs circonscrits. Seules la Syrah, la Marsanne, la Roussanne et le Viognier sont cultivés ici : cépages aromatiques et exigeants plantés au départ "là où la vigne voit le Rhône" et où, souvent, seul le travail de l'homme à pied reste possible.
Observer la nature, prendre en compte son environnement pour pouvoir s'adapter à chaque terroir est au cœur de toutes la réflexions et de nos actions.
Au fil des années, pierre par pierre, les murs de granit sont venus consolider les terrasses (ou "chaillées") sur lesquelles la vigne s'est épanouie. Les pierres sèches, support d'une grand biodiversité que nous nous appliquons à préserver au coeur de nos différentes parcelles, délimitent aussi les contours de ces terroirs minutieusement travaillés sur chaque Cru : "Sauman" à Cornas, "Le Tinal" à Condrieu, "Saint-Claude" à Saint Joseph ...
Chacun d'eux forge l'identité de J.Denuzière dans le verre, pour un résultat unique.
UN TRAVAIL D'ORFEVRE
Prendre grand soin de grands raisins
Cultiver la vigne en coteaux est un travail ardu. Il faut du courage, de la force physique, du savoir-faire et beaucoup de passion. Le respect de tout ce qui a été fait au vignoble est la base de tout ce qui suivra en cave : l'attention au détail règne dans le chai. La réflexion se mène en mariant expérience, simplicité et tradition.
La date de récolte est minutieusement choisie parcelle par parcelle : elle a une grande influence sur le style des vins élaborés, que l'on veut aromatiques et pleins de finesse.
Les vendanges sont entièrement manuelles, et entrent en cave séparées par parcelle. Le travail des raisins se fait de façon naturelle et en douceur, toujours guidé par la dégustation.
Les vins blancs sont fermentés dans de petits contenants et laissés sur lies fines pour révéler leur complexité au fil des mois.
Les vins rouge sont issus de vendange entière, encuvés par lieu-dit, puis pigé au pied, et travaillés en douceur pendant 2 à 3 semaines, jusqu'à ce que l'extraction des tanins et de la couleur soient jugées optimales. Après le décuvage ils sont gardés sur lies fines pendant plusieurs mois, parfois en barrique, selon le potentiel de chaque cuvée.
Prendre grand soin de grands raisins
Cultiver la vigne en coteaux est un travail ardu. Il faut du courage, de la force physique, du savoir-faire et beaucoup de passion. Le respect de tout ce qui a été fait au vignoble est la base de tout ce qui suivra en cave : l'attention au détail règne dans le chai. La réflexion se mène en mariant expérience, simplicité et tradition.
La date de récolte est minutieusement choisie parcelle par parcelle : elle a une grande influence sur le style des vins élaborés, que l'on veut aromatiques et pleins de finesse.
Les vendanges sont entièrement manuelles, et entrent en cave séparées par parcelle. Le travail des raisins se fait de façon naturelle et en douceur, toujours guidé par la dégustation.
Les vins blancs sont fermentés dans de petits contenants et laissés sur lies fines pour révéler leur complexité au fil des mois.
Les vins rouge sont issus de
vendange entière, encuvée par lieu-dit puis pigée au pied, et travaillés en douceur pendant 2 à 3 semaines, jusqu'à ce que l'extraction des tanins et de la couleur soient jugées optimales. Après le décuvage ils sont gardés sur
lies fines
pendant plusieurs mois, parfois en barrique, selon le potentiel de chaque
cuvée.